Profitez du week-end (qui s'annonce froid) pour lire deux livres que les auteurs, vanvéens tous les deux, dédicaceront demain dans deux librairies de Vanves. Je vous y croiserai peut-être.
René Sedes à le plaisir de vous annoncer qu'il dédicacera son livre:
"Square Payret-Dortail"
la singulière aventure sociale d'une cité HLM à Vanves (1929-2009),
le Samedi 17 octobre à partir de 15heures
à la Librairie du Lycée Michelet, place du Général-Leclerc.
En 1929, sur d’anciens jardins maraîchers de Vanves, une cité d’habitations à bon marché s’apprête à accueillir ses nouveaux locataires. Elle porte le numéro 13 de la rue de Châtillon.
Ensemble d’avant-garde dans une commune encore rurale, elle va être une curiosité avant de constituer le théâtre d’une expérience exceptionnelle de vie collective autogérée où la culture et les loisirs auront toute leur place. Elle deviendra par la suite une pépinière d’artistes de renom et demeurera un exemple de logement social qui aurait pu et dû être suivi ailleurs. De ce fait, elle représente l’antithèse même des « cités à risques dans les banlieues sensibles »…
Aujourd’hui, regroupés au sein de l’association « Ceux du 13 » de jeunes plasticiens font le pari de redonner un esprit nouveau à cet ensemble qui fête ses 80 ans : l’aventure continue…
Au sommaire : 1. Quelques repères sur le logement social. 2.-Henri Sellier, l’humaniste bâtisseur. 3. Maurice Payret-Dortail, l’œuvre inachevée. 4. De la Pointe des Groux au square Payret-Dortail. 5. 1929, une cité expérimentale. 6. 1930-1939, l’Age d’Or de la cité. 7. Avec le temps va… 8. Une version vanvéenne de la « Ruche ». 9. Une conception exemplaire du logement social.
Format 140x200. 80 pages illustrées de dix hors-textes. 16 euros (franco de port)
En vente dans les librairies de Vanves et chez l’auteur : René Sedes 5, Square Payre-Dortail 92170 Vanves.
Tél : 06 33 72 90 03. Courriel : [email protected]
A la librairie de Dominique BLONDEL, place de la République, Véronique Bès dédicacera son livre à partir de 16 heures
La même année, elle perd son compagnon, terrassé par une crise cardiaque. Grâce à l'écriture, elle a appris à revivre. Ce récit est issu des lettres écrites à son amour disparu entremêlées de son journal d'hôpital. Je ne sais pas mourir est l'un des plus beaux textes épistolaires depuis Inconnu à cette adresse de Kressmann Taylor (éditions Autrement, 1999).